Le rhum, à boire et à manger
Si les distilleries des territoires d’outre-mer sont centenaires, elles participent à l’innovation grâce à leur montée en gamme. Impossible de faire du rhum agricole en métropole, faute de pouvoir faire pousser la canne à sucre sous nos latitudes.
En revanche, des distillateurs, comme la distillerie du Cabestan en Gironde, utilisent de la mélasse qu’ils importent. D’autres importent des rhums des Caraïbes et les affinent en fût, à l’image des rhums Plantation vieillis en fûts de cognac Ferrand.
Faites découvrir à vos convives la large palette aromatique de ces spiritueux. Vous pouvez par exemple organiser une soirée dégustation avec cocktail au bar, plat de gambas flambées et un baba au rhum au menu.
Les apéritifs vintages
Les apéritifs rétro, notamment les liqueurs, font leur grand retour à travers des marques comme Lillet, Dubonnet, Suze, La Chartreuse. Un come-back impulsé par les grands groupes, mais aussi par les distilleries indépendantes. Les mixologues les utilisent en lieu et place des alcools blancs pour diminuer le degré alcoolique des cocktails et twister les recettes classiques.
Les sans alcool
C’est encore une niche, mais l’offre se développe rapidement : Suze 0°, Ziane Gentiane, le gin Ceder’s de Pernod Ricard, les gin JNPR et Djin… La demande décolle sous l’impulsion des bartenders qui les utilisent pour les mocktails.
Les premix
Trop sucrés, les premiers premix n’ont d’abord pas convaincu les consommateurs. Désormais, la qualité est au rendez-vous. Les mixologues réputés élaborent des recettes pour de jeunes marques comme Nighthawks ou Tails. Découvrez comment utiliser les premix pour faire facilement des cocktails qualitatifs.